Comment sont l’affluence et les pistes à Owl’s Head pour la relâche.

Pour plusieurs raisons la montagne de Owl’s Head était populaire aujourd’hui. Parmi ces raisons il y avait les 30 centimètres de neige tombées hier. Une autre raison pourrait être le temps d’attente aux remontées. Normalement durant la saison le temps d’attente n’est jamais très long. Aujourd’hui ce n’était pas différent, en 2 ou 3 minutes j’étais sur la chaise.

Pourquoi il y a peu d’attente, je me suis posé la question. Eh bien, selon moi, durant la relâche, il y a trois remontées à trois différents endroits. Chacune des remontées vous amène à trois sommets différents. Chacun des sommets réponds à votre degré d’habileté. D’ailleurs vous remarquerez qu’il y a un avis au bas de la remontée no. 1 qui informe les skieurs que cette remontée conduit seulement à des pistes difficiles. Il faut remarquez que la remontée no, 1 conduit au sommet et à une altitude de 753 mètres.

Voici, aujourd’hui les 37 centimètres de neige des derniers 7 jours après le passage des surfaceuses ne sont plus en poudre. Mais toute cette neige ramollie par le point 0 degré d’aujourd’hui, donne une surface idéale pour du curving à volonté. Les sous-bois sont superbes et les pistes à bosses vous attendent. Toutes les pistes sont ouvertes et bien sûr les 2 parcs à neige.

La BLEU, La bonne vieille remontée du temps des couleurs des chaises à Owl’s Head, tourne pour la relâche .
Il descends la Kamikaze , sous la remontée, à grande vitesse sans danger sur cette surface ramollie.
Il s’incline sans danger.
J’ ai vu plusieurs enfants de 4 à 7 ans, sur des pistes pas faciles qui descendaient comme des grands. Bravo!
Encore un peu de pratique.
Pour celles et ceux qui veulent s’arrêter pour une vue sur le lac ou pour un petit lunch. Elle se trouve à la deuxième courbe du sommet, sur la Lilly’s Leap.
Rendez-vous à trois heures pour le Karaoké , soyez Chill .

 

Soyez CHILL , pour agrémenter votre journée la montagne nous invitait, à trois heures, à venir chanter à un karaoké.

Encore trois jours à la relâche.

Jules Lincourt

Ski Média